Didier De Witte

Project Manager and Director in Gand, Belgique

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Né en octobre 1946, Didier de Witte vient d’une famille d’industriels flamande. Il dispose donc dès sa naissance de l’esprit d’entreprenariat, une aptitude qu’il a su mettre en valeur durant sa vie. En effet, il s’est constitué une fortune colossale dans l’immobilier gérée actuellement par ses enfants Thomas et Florence.

Il a fait ses études primaires en interne dans le Collège Saint-Pierre à Uccle, un établissement scolaire sis dans la région de Bruxelles-Capitale. Ensuite, il a fréquenté une école d’ingénierie commerciale à Louvain et a obtenu son diplôme en 1970. Après avoir travaillé quelques années dans le monde bancaire, il a dirigé la briqueterie familiale la Ceragres située à Melle et qui appartient à la famille flamande depuis une dizaine d’années. L’apparition des nouvelles technologies aidant, il s’est investi jusqu’en 1988 dans la construction d’une centaine de maisons en squelettes de bois, sous la marque Build.

L’année 1994 a vu la montée de la libéralisation de capitaux pour les personnes et sociétés suédoises. A cette période, les valeurs de l’immobilier bruxellois ne représentaient que la moitié de ceux des Suédois. Ces derniers s’y sont donc massivement investis afin de promouvoir cette activité et faire monter à l’occasion les prix. Grâce à sa qualité d’entrepreneur expérimenté, Didier de Witte a profité de cette opportunité pour construire des immeubles et appartements, notamment à Bruxelles, le centre de l’invasion immobilière suédoise. Il a eu un tel succès que Béton Byggen, un groupe côté en bourse lui a fait une offre pour racheter sa société. Entretemps, il a varié ses activités en misant sur un petit hôtel de 4 étoiles, le Gravenstenn Hôtel à Gand. Ce dernier avait déjà à cette époque 17 chambres.

Son succès dans le milieu hôtelier l’a encouragé à faire plus et à réaliser des constructions top. Ainsi sont nés deux autres, dont Ghent Hôtel et Hôtel de Flandres. Viennent ensuite la Résidence Bergamote à Schaerbeek qui dispose de 180 lits et les Glycines à Tamines. Il a ensuite investi dans les maisons de repos après avoir constaté le vieillissement de la population et la nécessité d’avoir des infrastructures adéquates.

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