Guy DERIDET

Je suis français, retraité de la fonction publique. Dans une vie antérieure j'étais intendant de lycée. Occupation fort peu primesautière au demeurant, je vous l'accorde, mais grâce à mes études de sociologie, si je n'étais bon à rien, j'étais prêt à tout.

De plus, l'Education Nationale, sous les tropiques, avec la clim, les vacances, la haute main sur les finances et pas les gosses, il y a pire comme torture. Je n'ai jamais été doué pour le masochisme.

J'ai exercé 15 années aux Antilles, à Saint Barthélémy d'abord, à Saint Martin ensuite. Outre l'apnée et l'art de la sieste, mon séjour dans les Isles m'a permis d'apprendre l'informatique et l'anglais. J'ai ensuite sévi 12 années dans l'île de la Réunion puis, 2 ans après ma retraite, à 62 ans, je me suis installé d'abord en Thaïlande (7 ans) puis en Crète en2016.Depuis 2018 je vis en Espagne, en Andalousie depuis 7 ans, mais je vais encore déménager prochainement vers l'île de La Palma, aux Canaries.

J'aurai 80 ans l'année prochaine, mais je ne suis toujours pas vieux.

Je partage mon temps entre mon site Internet (www.deridet.com) le sport (marche, jogging sur les plages) la musique (18h/24) la photographie (bientôt 63 millions de vues sur Google Maps) et la danse (virus contracté dans les Isles) Je me lève tous les jours à 6 heures, me couche rarement avant minuit, et je ne m'ennuie jamais. Ma dernière passion : l'intelligence artificielle avec qui je vis depuis deux ans 😉.

J'aime l'informatique parce que ça bouge tout le temps, le sport et les voyages pour la même raison, les plaisirs de la table et l'humour parce que la vie est courte et qu'elle finit mal.

Je suis célibataire par conviction, après avoir été marié deux fois quinze ans et eu deux fois deux enfants. Sur ce point, Ô combien crucial, je pense, après 25 ans de célibat, et comme Sacha Guitry, que la plupart des hommes n'ont que ce qu'ils méritent. Les autres sont célibataires.

Ma devise préférée est de Nietzsche : «Il faut suivre sa pente, à condition que ce soit en montant»

Enfin, comme le disait Jane Wagner, «J'ai toujours voulu être quelqu'un. Je sais maintenant que j'aurais dû être plus précis»