Thierry Rivier

Paris (France)

Thierry Rivier

Paris (France)

Thierry Rivier a créé en juin 1997 Financière Magenta, groupe spécialisé dans la conception de produits d’investissement avec des objectifs de rendement au minimum de 15% l’an, cela en utilisant notamment les leviers fiscaux.

Pourquoi et comment Thierry Rivier a-t-il acquis une expertise en la matière ? Retour sur l’itinéraire du Président du groupe, intimement lié à la réussite de la structure.

Thierry Rivier est devenu un expert pour faire saisir à ses clients l’opportunité d’opérations d’investissement alliant qualité, rendement élevé et fort avantage fiscal grâce à sa formation et à son parcours professionnel. Son intérêt pour la défiscalisation, il le tient de son expérience passée dans une filiale de la Dresner Bank qui avait une activité soutenue en la matière dans les DOM-TOM, du temps de la loi Pons.

Thierry Rivier s’intéresse alors d’autant plus près à la défiscalisation outre-mer, ainsi qu’à la défiscalisation immobilière de monuments historiques, que son expérience de six ans dans les banques de marché lui a permis de tisser un réseau de relations étroites avec des acteurs du marché éprouvant un besoin naturel à défiscaliser. Cet atout majeur et une inclination personnelle à venir au soutien de l’activité économique des DOM-TOM ont conduit Thierry Rivier à développer les produits de défiscalisation au sein du dispositif Girardin.

Pour appréhender ce domaine complexe, Thierry Rivier a su tirer pleinement profit de sa formation d’ingénieur de l’Institut Polytechnique de Grenoble où il a appris à s’organiser pour traiter d’une masse d’informations. Une valeur ajoutée qu’il a mis en application dès 1985 lorsqu’il a rejoint en qualité d’ingénieur conseil en organisation Bossard Consultants qui était alors un des deux cabinets français les plus importants de conseil en organisation. L’expertise de Thierry Rivier en matière d’organisation a constitué une réelle valeur ajoutée pour maîtriser le dispositif Girardin, l’activité complexe présentant plusieurs facettes. Il faut en effet tenir compte de trois composantes. D’abord, la composante locale qui est celle du choix de l’entreprise qui va investir ; ensuite, la composante juridique, au regard de la création et de la gestion des sociétés en nom collectif ; enfin, la composante commerciale en amont, avec toutes les difficultés à développer un réseau de conseillers professionnels, gestionnaires de patrimoine, pour la collecte en métropole.

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